La première invitée est Aelinel du blog La bibliothèque d’Aelinel. Bien que le choix fut dur, Aelinel a décidé de vous parler de L’empire du léopard d’Emmanuel Chastellière.
Un seul royaume au-delà des montagnes, l’Empire du léopard, reste encore hors de portée et cristallise les rêves de gloire et de grandeur. Lorsque le vice-roi de la Lune d’Or, Philomé, reçoit une proposition de mariage de la part de l’Empire du léopard, il y voit là l’occasion non seulement de pacifier les relations entre colons et peuples de la Lune d’Or mais aussi d’asseoir l’autorité du Coronado. Avec le 22ème régiment dirigé par le colonel Orkatz surnommée la Salamandre et un groupe de mercenaires mené par le cousin du Roi du Coronado, Cortellan, il décide de traverser la jungle en train pour se rendre vers le mystérieux Empire du léopard.
– les civilisations mésopotamienne et égyptienne de l’Antiquité pour l’organisation sociale, économique et architecturale de l’Empire du Léopard.
– la découverte des Amériques aux XVème et XVIème siècle.
– l’avancée technologique du XIXème siècle.
Malgré les 600 pages de ce one shot, je n’ai pas vu le temps passer : l’écriture d’Emmanuel Chastellière est fluide et immersive, son univers bien développé (que ce soit au niveau du contexte social et politique ou du territoire géographique), son intrigue haletante (on a tous très envie de découvrir cette fameuse cité mythique de Tichgu!) et ses personnages très travaillés d’un point de vue psychologique. Mention spéciale d’ailleurs pour Cérès Orkatz, le colonel de l’armée de Cortellan qui va mener ses troupes à travers la jungle pour se rendre dans le fameux Empire du Léopard. Elle s’avère être un personnage féminin compétent, fort et charismatique qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Pour toutes ces raisons, L’empire du léopard a été l’un de mes coups de cœur 2018!
déclin. Leur destination ? Sinisyys, une autre planète bleue découverte
aux confins du système Eridani. Parmi ceux qui rêvent de la rejoindre,
Eric et Johanna. Or, après avoir émergé du sommeil cryogénique, ils
comprennent qu’ils n’ont pas atteint Sinisyys mais une structure
artificielle si grande que l’esprit humain ne réussit même pas à en
imaginer les limites. Où sont-ils ? Comment sont-ils arrivés là ? Eric,
Johanna, et les autres colons, parviendront-ils à percer le mystère de
l’artéfact labyrinthique puis à faire repartir le Stern III vers sa
destination initiale ? Pour cet échantillon d’humanité au bord de
l’extinction, débute alors un compte à rebours au final incertain !
De FNA à BDO, rien de plus logique pour Critic. Trois lettres qui firent les beaux jours de nombreux lecteurs, soit par une collection devenue mythique, soit par un trope de la SF dont les plus grands se sont emparés. Le Big Dump Object, c’est ce que recherche le lecteur avide d’étoiles dans les yeux. Un truc énorme, gigantesque, monumental. Et flippant aussi. C’est la promesse d’un voyage vertigineux.
Et c’est le pari réussi de Romain Benassaya. Il y a dans son roman ce que je recherche dans un livre, le fait de m’emmener avec lui dans son monde. Et pour ça, pas besoin d’inventer l’eau chaude, mais simplement savoir conter une histoire. Romain est un raconteur d’histoire, tout simplement.
Alors si tu veux partir dans un périple qui te fera comprendre ce qu’est le Sense of Wonder cher aux amateurs de science-fiction, enfiles ton Fedora et ton fouet et pars affronter sa Pyramide.
Retrouver la chronique complète sur son blog 😉
la vie offre de nombreuses opportunités. Boire, voler, rudoyer ou tuer,
tel est le quotidien de Hent Guer, un guerrier redoutable, et de Pic
Caram, un sorcier aux rubans. Tous deux écument routes et cités à la
recherche de proies faciles. Toutefois, leurs plans se trouvent
contrariés lorsqu’un matin de gueule de bois, Hent constate, impuissant,
la disparition de Pic. Sur la grande île de Colme comme ailleurs, les
talents d’un sorcier aux rubans attirent bien des convoitises ! Pour le
mercenaire, pas question d’abandonner son partenaire de crime : spolier
son prochain est beaucoup plus drôle avec l’aide d’un sorcier à la
morale légère. Voici donc le récit des aventures de Hent Guer et Pic
Caram, et les mésaventures de ceux qui ont la malchance de croiser leur
route !
J’ai lu beaucoup de romans des éditions Critic ces dernières
années et beaucoup m’ont marquée. Il a été difficile de faire un choix mais
j’ai finalement retenu Des sorciers et des hommes de Thomas Geha. J’ai découvert
l’auteur et ce roman aux Imaginales 2018, un peu par hasard et surtout grâce à
Dup et Phooka de Book en stock. Le roman est un one shot donc parfait pour
découvrir l’auteur. L’univers du roman est très bien mis en valeur par la très
belle couverture de Xavier Colette. Le roman est vraiment surprenant à plus
d’un titre : ses personnages, sa construction et son intrigue à tiroirs.
On est dans le registre de la fantasy sombre avec des mercenaires sans aucun
scrupules, mais avec un peu d’humour. Un excellent roman qui se lit vraiment
très bien, une magie originale et puissante, une plume efficace, vraiment une
grande réussite ! Suite à cette découverte, j’ai depuis lu d’autres livres de
cet auteur que j’ai beaucoup aimé. Je recommanderai d’ailleurs aussi le recueil
Les Créateurs de Thomas Geha toujours chez Critic que j’aurai pu choisir
également pur cette présentation car c’est une véritable merveille. Mais Des
sorciers et des hommes a été ma porte d’entrée dans son univers et restera
à part pour cette raison.
vient de subir mon peuple, les shaos, me laisse un sale goût dans la
bouche, comme une envie de vengeance. Les qivhviens – des reptiliens
belliqueux- nous ont massacré ou pire encore, réduit en esclavage. Une
caravane nous convoie vers Ferza, la capitale de l’Empire qivhvien.
Là-bas, dans ce nid de vipères, les plus forts d’entre-nous seront
destinés aux arènes, spectacles dont sont si friands ces satanés
serpents. Autant dire que je suis voué à une mort certaine…
qui a obtenu un partenariat avec eux pour leur toute première parution, Le
projet Bleiberg de David Khara,il y a donc 10 ans. Mais ce n’est pas de ce
livre dont je veux vous parler, mais de mon premier rendez-vous avec Critic,
pour y découvrir mon chouchou chez eux : Thomas Geha.
première parution chez eux : Le sabre de sang.
de la frénésie de lecture et surtout deux fois des larmes et deux fois envie de
tordre le cou de ce maudit auteur qui m’a broyé le cœur.
chroniques, foncez direct chez votre dealer préféré vous procurer ce SABRE DE
SANG, c’est vraiment, vraiment top !
Le sabre de sang tome 1 Phooka- Le sabre de sang
tome 1 Dup - Le sabre de sang
Tome 2 Phooka - Le sabre de sang
Tome 2 Dup
raisons d’en vouloir aux Dieux qui ont puni le peuple de la Rhovelle
pour les fautes de ses aïeux. Car depuis la chute du glorieux Empire
d’Asrethia, le monde est parcouru de zones instables qui provoquent des
mutations terrifiantes, les gens ont faim, et une religion austère qui
prêche la haine des femmes soutient un système féodal.
Pourtant, quand les Dieux décident de vider leur querelle par
l’intermédiaire des humains, un rôle crucial échoit à Mériane. Pour elle
débute une quête qui la verra devenir chef de guerre et incarner
l’espoir de tout un peuple.
Vous pouvez retrouver la chronique complète sur son blog 😉
entre les Elfes et les Hommes a repoussé les Orcs par-delà les
frontières.
À l’approche des élections, Olangar est une capitale sous tension,
véritable poudrière où seule manque l’étincelle. Tandis que les trois
candidats noircissent les journaux de leurs promesses, les accidents se
multiplient sur les chantiers navals ; les salaires se font attendre et
la Confrérie des Nains menace d’engager un mouvement de grève d’une
ampleur jamais vue. À leur tête, Baldek Istömin ira jusqu’au bout.
Au même moment, Evyna d’Enguerrand, fille d’un ancien seigneur de
guerre, débarque en ville pour chercher la vérité sur la mort de son
frère, soldat assassiné au Grand Mur dans d’étranges circonstances. Pour
l’aider, elle fait sortir de prison Torgend Aersellson, un Elfe banni
par les siens et vieil ami de son père. Ensemble, ils se lancent dans
une enquête acharnée, qui les mènera des bas-fonds de la cité jusqu’aux
couloirs de la Chancellerie et ses arcanes politiques.
de souhaiter un joyeux anniversaire à une maison d’édition qu’en lui parlant de
son meilleur souvenir de lecture. Je félicite Anne-Laure du blog « Chut
Maman lit ! » d’avoir eu la formidable idée de demander aux blogueurs
et blogueuses du genre de venir partager leur plus beau coup de cœur livresque.
moi dix ans d’évasion et d’aventure. Chaque livre est une pépite dont on
apprécie chacune des pages. Le petit rayon qui se trouve dans ma bibliothèque est
déjà un ravissement pour les yeux, mais il est aussi synonyme d’heures de
lectures passionnantes qui s’accompagnent toujours d’un petit pincement au cœur
à chaque livre achevé.
un en particulier, je pense tout de suite à
« Olangar : Bans et Barricades » de Clément Bouhélier. Car
même si j’ai adoré chacun des livres lus chez Critic, celui-ci demeure pour moi
la plus grosse claque littéraire reçue.
c’est pour moi la révélation de fantasy française
de 2018. Pour un auteur de thrillers fantastiques, il s’est emparé avec brio
des codes usuels du genre pour livrer un texte ambitieux, engagé et
parfaitement bien exécuté. Ce dyptique a beau être dense, c’est tellement bien
écrit qu’on est happé d’un bout à l’autre.
ça raconte quoi…
brasse une population très cosmopolite où les hommes côtoient les nains et
parfois les elfes. C’est là-bas que débarque Evyna d’Enguerrand. Fille d’un
ancien seigneur de guerre, elle est à la recherche d’un elfe du nom de Torgend
Aersellson afin que celui-ci lui vienne en aide. Elle cherche la vérité sur la
mort de son frère, soldat engagé à la frontière ouest et disparu dans des
circonstances troubles. Recommandé par son père, Torgend semble être l’elfe de
la situation pour l’aider à éclaircir ce mystère. Quête très louable mais qui
va les amener à mettre au jour des malversations de politiciens véreux en
cheville avec la pègre. Aidés dans leur mission suicidaire par un nain
syndicaliste, tous trois seront-ils vraiment prêts à tous les sacrifices pour
faire éclater la vérité ? »
d’une intrigue bien ficelée. Il y a beaucoup de mystères autour d’une
disparition qui entraîne une chasse à l’homme de grande envergure. En effet, les héros de Clément Bouhélier y seront persécutés
d’un bout à l’autre. Cela soulève de nombreuses questions qu’il nous tarde de
résoudre. L’univers forgé par l’auteur est le miroir du nôtre avec des elfes et
des orks, en plus. Une petite touche qui s’avère d’ailleurs très plaisante pour
la lecture. Il nous offre ici un univers mâtiné de steampunk avec l’ambiance
d’une ville industrieuse post-révolution. En quelques mots, c’est un livre qui
contentera chaque amateur d’Imaginaire.
catalogue de cette maison d’édition qui offre des textes de qualité et met
l’Imaginaire français à l’honneur.
Paris, gare de Lyon. Une jeune femme brise une éprouvette et libère un
virus inconnu qui se nourrit de la mémoire et frappe sans distinction
d’âge, de sexe ou de milieu social. Peu à peu, les infectés perdent
toute capacité à penser et à agir. Malgré les mesures gouvernementales,
l’épidémie se répand dans le pays, et même au-delà. Bientôt, le monde se
peuple de « zombies », coquilles vides, errantes, répétant le même
geste à l’infini. Au milieu des décombres survivent quelques miraculés,
des immunisés. Parmi eux, Chloé, Phil’, Claudy et Arthur. Ils n’ont rien
en commun et ne se connaissent pas. Pourtant, une voix mystérieuse
leur souffle de se rencontrer. Dans cette France en proie au chaos, ils
doivent découvrir qui a déclenché la pandémie et, surtout, mettre fin à
son œuvre de destruction.
d’or ? De Tia, Zao et Esteban ? Elles vous ont fait vibrer pendant
votre jeunesse, elles vous feront frémir ici. Car l’univers imaginé par
Emmanuel Chastellière dans L’empire du
Léopard est funeste. Et s’’il laisse entendre un doux écho de notre
enfance, il est surtout un rappel de la colonisation Espagnole, de son
injustice et de sa violence.
l’auteur tisse une atmosphère étouffante, poisseuse, qui englobe et mine peu à
peu la compagnie du Colonel Cérès Orkatz. Elle et ses hommes sont arrivés en conquérants,
prêts à se couvrir d’or et de gloire et se retrouvent englués dans une terre
aride, oubliés de tous… et bientôt soumis à la force et à la magie d’un peuple
qu’ils ont sous-estimé. Le sang va couler, et l’horreur se déchaîner.
Pépé est un Alone, un solitaire qui trace sa route dans une France
dévastée. Son créneau : la survie. Son credo : le mouvement. Armé de ses
couteaux, il va affronter tous les dangers pour retrouver un fantôme de
son passé : Grise. Mais suffit-il de survivre ? Car un vent de
renouveau souffle sur les débris de l’ancien monde, porteur de dangers
autant que d’espoir.
roman comprenant les deux tomes de « A comme Alone » ainsi que deux
nouvelles, est un hommage à « L’autoroute sauvage » de Julia Verlanger
(l’auteur le dit lui même).
Le scénario est un road-trip rempli d’action, d’aventure, de survie, de cannibalisme,
de solitude, d’amour, de haine et surtout d’espoir. Les décors sont en
Bretagne, j’adore (y habitant), les personnages et la mythologie sont bien
étudiés, le bestiaire est très intéressant.
les deux nouvelles incorporées en milieu et fin de d’ouvrage apportent un vrai
plus (transition entre les deux romans pour la première, et un prequel
descriptif de certains points abordés dans les romans pour la deuxième).
La première partie est vraiment basé sur du roman « Post Apocalyptique » alors
que le second est tourné plus vers un mélange SF et Fantasy, ce qui donne
du charme et permet de ne pas s’ennuyer. Même s’il n’atteint pas le niveau
de « L’autoroute sauvage », cet intégrale est agréable à lire et tiens
en haleine.
En colonisant d’autres mondes, l’humanité s’est divisée. Désormais,
seuls les Spatiens font encore le lien entre les différentes planètes à
bord d’immenses consortiums d’astronefs, nommés agrégats, accomplissant
ainsi la Tradition du Vide. Parmi les millions d’habitants qui les composent, Rivka est une
moissonneuse chargée de sillonner la zone d’influence gravitationnelle
pour collecter les ressources énergétiques et minérales vitales à leur
communauté.
Un jour, lorsqu’elle secourt Ilam, un photographe étranger dont le
vaisseau a subi une avarie, elle est loin d’imaginer les conséquences de
son geste. Pour les deux jeunes gens, commence un périple semé
d’embûches, où il leur faudra non seulement échapper aux foudres du
maître de l’ordre, chargé de veiller au respect de la Tradition, mais
aussi jouer leur rôle dans une trame qui les dépasse : un jeu de piste
millénaire construit sur les notes d’un chef d’orchestre mystérieux.
temps mort avec pourtant la description d’un univers riche, complexe qui
se présente comme un diaporama et qui m’a complètement conquise.
L’auteur réussi ici un tour de force en nous présentant un récit de
space opera de moins de 300 pages intelligent et beau mais également
captivant… chapeau !
accessible : pour les amateurs éclairés aussi bien que pour ceux plus
frileux devant les grandes sagas de space opera. Un beau coup de cœur !
Sympa ce petit tour d'horizon des Editions Critic.
Merci à tous les bloggueurs
Merci 😉
Merci pour ce bel article et pour nous avoir ouvert les portes de ton chez toi 🙂
Merci d'avoir répondu présente !
Ouiiii, très bel article ! Et j'aurai pu également choisir le Pépé de Alone qui fut mon premier coup de coeur SF… alors que je dis toujours que je n'aime pas ça !
C'est sympa ces articles croisés !
J'ai tout appris avec vous !
Je trouve sympa de retrouver sur le blog des avis autres que les miens de temps en temps 😉
Très bel anniversaire aux éd. Critic, et un très bel article pour fêter ça, j'ai lu plusieurs des titres présentés ici dont certain pour lesquels j'ai passé d'excellents moments, mais grâce à cette initiative de regrouper toutes ces chroniques j'ai repéré plusieurs titres qui me donnent très envie d'aller voir mon libraire !!
C'est le problème avec les avis de blogueurs, on finit toujours avec une wishlist qui atteint des sommets 😉 Merci d'avoir participé.
Très bon anniversaire à Critic et merci à vous tous de les suivre ! 🙂
Merci Emmanuel 😉
Je me permets de sauvegarder la "bannière" Empire, elle est vraiment chouette ! 🙂
Avec plaisir !
Une trilogie en 5 tomes ? Il est trop fort ce Lionel Davoust !
Très chouette article ! et merci de m'avoir invitée 🙂
Je peux pas m’empêcher de la faire à chaque fois, ça me fait trop rire XD
Merci à toi d'avoir participé 😉
Tres chouette article !
Très très sympa ce billet et très bonne idée ^^
Je n'ai pas du tout eu le temps de me pencher sur la question avec mon unique lecture Critic mais je vois que Lionel Davoust est dûment représenté alors l'honneur est sauf.
J'ai laissé chaque blogueur choisir son livre mais j'avoue que je suis contente que Lionel Davoust y soit. J'ai été un peu étonné que personne ne propose Estelle Faye avec les Seigneurs de Bohen par contre…
bel article et une excellente façon de souhaiter un anniversaire. 🙂
Merci beaucoup 😉
Jolie mise en avant de cet éditeur. J'adore tes images.
Il faut que je lise Olangar, au moins pour fairre la nique au rouquin !
J'ai acheté le tome 1 aux Imaginales mais pas encore eu le temps de m'y mettre… et la suite arrive bientôt en plus !
Une merveilleuse idée qui j'en suis sûre donnera plein d'idées-lectures aux plus aventureux – faut avouer, y a pas mal de pavés dans le tas ha, ha ! ^^ Merci pour l'invitation, c'était un ÉNORME plaisir de pouvoir crier sur tous les toits mon amour pour cette ME <3 !
Merci à toi d'avoir répondu présente 😉
C'est une super initiative, bravo bravo j'approuve milles fois ! Bonne anniversaire à critic ! Là je vais profiter de l'offre de La volonté du dragon offert pour deux achetés, alors c'est vraiment nickel d'avoir en plus un tour de table des coups de coeurs des bloggeurs !
Je suis ravie que l'article te plaise, merci 😉